le désert et nulle part d’être vivant. En se prolon geant, cet état de choses donnait des inquiétudes à Piouéven. « M’aurait-il trompé ? se disait-il. Je l’ai pourtant étudié avec soin : il a au cœur nn vieux levain ; c’est une garantie. Mais ces nègres! ces nègres ! est-on jamais sûr d’eux? » Au milieu de ces réllexions, il continuait à exercer sa surveillance. De leur côté, les matelots en faisaient autant : cachés derrière le rocher, et accroupis sur l’aire de la grotte, ils se tenaient prêts à tout événe ment. Les armes étaient en état ; aucune surprise n’eùt été possible : tous les nègres maraudeurs se fus sent réunis, qu’ils n’auraient pas eu raison d’hom mes si déterminés et si bien protégés par leur posi tion. Les limiers mêmes semblaient impatients de pren dre une revanche, et, en cas d’alerte, ils eussent été d’un grand secours : leur courage égalait celui des marins, et ils avaient pour l’attaque et pour la défense des instruments naturels qui valaient ceux que four nissent les arsenaux. Dans les calculs de Piouéven , c’était par le bois d’acacias que le nègre marron devait rentrer dans la laude et s’v montrer à découvert : aussi tenait-il les yeux fixés de ce côté. Ce bois s’étendait à la droite de la grotte et allait rejoindre, par une pente rapide, les massifs d’arbres qui garnissaient le fond du ravin. Vers la gauche, il n’v avait que des rocs dégarnis et un taillis, mêlé de quelques fougères. La lande était au milieu, entre les fougères et les acacias : le piton occupait le dernier plan. Ces circonstances expliquent l’étonnement du capitaine, lorsqu’il entendit une voix dire à ses côtés : « Les voici. » Il se retourna ; c’était Yvon qui avait jeté ce cri d'alarme. e Où cela P lui demanda le capitaine. — De ce côté, » dit le jeune Breton. Il désigna le taillis qui régnait sur la gauche et à une certaine distance de l’enfoncement où la troupe se cachait : u Da ce côté ? répéta le capitaine avec un accent et des "estes qui dénotaient beaucoup d’incrédulité. Impossible ! Cela est pourtant, dit Yvon, sans se laisser ébranler. Comment serait-ce ? dit Piouéven. Le nègre est parti du côté opposé....
Viele Grüße ...................................
Christine
.. ............. Wer sich das Alte noch einmal vor Augen führt, um das Neue zu erkennen, der kann anderen ein Lehrer sein. (Konfuzius)
Les noms de famille du Haut-Rhin
Auf 272 Seiten wird hier (auf französisch) die Herkunft der häufigsten Namen des oberen Elsaß beschrieben, inkl. Hinweise auf einige bekannte/bedeutende/etc. Namensträger. Wer nicht weiß, ob ihm das die 25 Euro wert ist, kann das Buch auch per Fernleihe bestellen
Die Besonderheiten der Genealogie im Elsass Das Buch Les particularités de la généalogie en Alsace (Die Besonderheiten der Genealogie im Elsass) ist ein unentbehrliches Hilfsmittel für Ahnenforscher, die sich ins Elsass wagen, und listet die Besonderheiten der Ahnenforschung in der Region auf:
Die Sprachen
Die Kalender
Die Familiennamen
Die Vornamen
Die Ortsnamen
Die Minderheiten
Die Berufe
Die Fallen
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Christine
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Eine sehr wertvolle Forschungshilfe für den Bereich "Krummes Elsass" ist die CD Familienbücher Krummes Elsass von Dr. Gerhard Hein.
Der Verfasser dieser Buchreihe, Dr. Gerhard Hein, wurde bei der Suche nach seinen elsäßischen Vorfahren dermaßen fasziniert, daß er nicht mehr aufhören konnte, das Herkunftsland seiner Altvorderen zu erforschen. Dieses "Krumme Elsaß" oder auch "Heckenland" bezeichnet die Grafschaft Nassau-Saarwerden, zusammen mit der ehemaligen Grafschaft Lützelstein, sowie einigen anderen kleineren Herrschaften. Ein Grenzland zwischen der germanischen und der romanischen Kultur, zwischen dem Protestantismus und dem Katholizismus.
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